Le silence régnait dans la parure où Clémence s’était installée. Seule la éclairage vacillante de la citrouille illuminait l’espace, projetant des ombres mouvantes sur les murs tapissés de livres anciens et d’objets inexplicables. L’odeur du café flottait toujours l’air, se accompagnant aux effluves d’encens qui donnaient à l’endroit une atmosphère https://andresjwgrb.losblogos.com/32199980/voyance-sans-cb-de-lauriana