En l’année 1851, au cœur de l’Empire austro-hongrois, dans un seul village perdu entre montagnes et forêts, un horloger du sobriquet de Jakob Müller vivait reclus dans une bâtisse de pierre et de cuivre. Artisan obsessionnel, il avait passé deux décennies à concéder une argenture spéciale en son genre : https://ricardowmyfm.imblogs.net/83874223/la-cage-aux-cartes