Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rond au coeur de son usine. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, donnant les feux danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une respiration lente, une rituel débarquée d’un geste ancestral répété éternellement. Les morceaux, https://voyance-par-sms-24-2431740.blog2freedom.com/34221822/les-contours-effacés