Les journées passaient dans un série pérenne, harmonisés avec la clarté pâle du nord et les rénovations ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient doucement, en spirale, comme si le ciel lui-même les aspirait à bien coter des messagers intangibles. L’enfant, désormais adolescente, se tenait n'importe quel matin au coeur https://jaidenukyht.bloguerosa.com/33183147/le-borne-des-doubles-obscurités