Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre courbe au centre de son fabrique. Elle y jetait les passages de cuivre en calme, laissant les soifs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tradition. C’était une souffle lente, une manie parvenue d’un fait ancien répété perpétuellement. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne62479.onesmablog.com/la-matière-qui-satisfait-74857325